« Credits : Streets of Rage / Bare Knuckle (Mega Drive) | La galaxie SEGA s'étend ! » |
Quiconque s'intéresse à l'Arcade et aux cartes SEGA ou Capcom a forcément entendu parler de "suicide battery" (pile suicide), ces systèmes dont sont affublés certains jeux, censés empêcher les copies...
Le principe, rapidement :
Certaines EPROMs des jeux sont encryptées, avec une clé de cryptage contenue dans une mémoire volatile (une RAM) alimentée par une pile. Impossible donc de lire la clé dans la RAM, à l'instar d'une EPROM, sans risquer de perdre la clé servant au décryptage. Et le problème, c'est qu'une pile ça ne vit pas éternellement, donc le jour où celle-ci est morte, le jeu aussi !
(...)
Factoïd
1983 : l'année où Rikiya Nakagawa, reponsable du studio AM1 durant les années 1990, rentre chez SEGA en tant que programmeur. Il s'illustre sur la reprogrammation de Choplifter, et sur Ninja Princess.